« Imperceptiblement l'esprit sylvestre se réveille.
Biscornus noeuds noués,
longs doigts branchus,
frémissantes ailes gracieuses
et tendres sèves coulantes
prennent des formes ... humaines.
Dans la clarté au fond, l'oeil de la forêt s'ouvre,
pupille sanglante au soleil couchant. Ombres et lumières jouent à cache-cache. »
"Mousse" (extrait)
(Gouache sur papier libre en format A5)